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| Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP | |
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+3Léa♥ Portgas D Lucy Shirayuki-san 7 participants | Auteur | Message |
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Shirayuki-san
Messages : 139 Date d'inscription : 16/11/2012 Age : 25 Localisation : Ma chambre. La simplicité avant tout x)
| Sujet: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Lun 19 Aoû - 22:25 | |
| Donnez moi vos avis sans euphémisme Onegaishimasu :cyclops: Je tiens quand même à préciser qu'elle n'est pas définitive, je la garde précieusement dans mes document, il se pourrait que certains détails (pas très importants) change un petit peu. Je vous tiendrai au courant
Prologue :
Lundi 17 mars, 22h45
Je jetais un coup d’œil par la fenêtre entrouverte de la maison. Elle était là, toujours à la même place, agenouillée auprès de lui. Ses cheveux lisses et châtains lui tombaient jusqu’aux hanches, ses yeux, d’un bleu aussi profond que la mer, reflétaient l'inquiétude qu’elle avait pour le vieil homme allongé à côté d’elle, sur le futon. Des semaines durant je l’avait observé, furtivement, sans jamais lui parler. Elle avait une silhouette élancée et une prestance incomparable, les larmes qui lui coulaient sur ses joues roses trahissaient ses traits impassibles comme si elle n’avait pu s’empêcher de pleurer devant le triste état de l’homme à ses pieds. Celui-ci avait des cheveux courts poivre et sel, un visage blême au regard grave. Il était allongé, maigre et semblait à l’article de la mort. Au début je le prenais pour son grand-père mais je changeai rapidement d’avis en voyant l’immense respect dont elle faisait preuve envers lui.... comme si cet homme l’avait recueillie, lui avait redonnée vie et qu’elle ne le remercierai jamais assez pour ça.
Longtemps j’avais rêver d’elle, je la voyait souriante et éclatante de beauté, et chaque soir j’attendais de la rejoindre au pays des songes : là où l’espace-temps est disloqué, où chaque heure passe en une seconde, là où l’on peut voir le passé et le futur défiler devant ses yeux et où tout par en poussière aussi vite que cela s’est construit. Jusqu’au jour où elle emménagea à coté de chez moi : dans cet énorme manoir tout droit sorti d’un compte japonais, avec ses toits en pagode, ses portes coulissantes, ses “vitres” en papier et son magnifique jardin. Autant vous dire que je n’en cru pas mes yeux. Je me suis même donner une claque, sous le regard hébété de mes parents en croyant que je rêvais encore, mais non, c’était elle, à la différence près qu’elle avait le regard vide, sans expression. Elle marchait la tête haute jusqu’à disparaître dans cette immense bâtisse bien trop grande pour une seule personne. Soudain, elle tourna la tête dans ma direction, pris de panique, je détalai à toute vitesse en espérant qu’elle ne m’aie pas vu, puis je rentrai chez moi, essoufflé, le coeur battant la chamade je me répétais inlassablement. “ Demain j’irai m'excuser, Oui voilà, j’irai m’excuser, on fera plus ample connaissance et se sera comme si de rien n’était.” Mais c’était sans savoir que ce demain n’arriverai peut-être jamais …
Dernière édition par Shirayuki-san le Ven 23 Aoû - 17:20, édité 1 fois | |
| | | Portgas D Lucy Administratrice
Messages : 892 Date d'inscription : 02/11/2012 Age : 29
| | | | Léa♥
Messages : 289 Date d'inscription : 23/11/2012 Age : 25 Localisation : Aux pays des merveilles 3:
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Mar 20 Aoû - 10:22 | |
| Ouha!!! C'es!!t génial putain!! | |
| | | Shirayuki-san
Messages : 139 Date d'inscription : 16/11/2012 Age : 25 Localisation : Ma chambre. La simplicité avant tout x)
| | | | Levy-chan
Messages : 1346 Date d'inscription : 05/11/2012 Age : 26 Localisation : !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Mer 21 Aoû - 17:20 | |
| Idem',j'aime bien !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :3 | |
| | | Ryuuzaki
Messages : 80 Date d'inscription : 28/04/2013 Age : 30 Localisation : Belgique
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Mer 21 Aoû - 22:58 | |
| Je dois le reconnaître, c'est vraiment pas mal du tout x) | |
| | | Swake
Messages : 391 Date d'inscription : 04/12/2012 Age : 25 Localisation : ѕυя ℓα тєяяє.
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Jeu 22 Aoû - 8:46 | |
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| | | Shirayuki-san
Messages : 139 Date d'inscription : 16/11/2012 Age : 25 Localisation : Ma chambre. La simplicité avant tout x)
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Jeu 22 Aoû - 15:09 | |
| Une fois par semaine ça vous va :O | |
| | | Okami
Messages : 121 Date d'inscription : 08/03/2013 Localisation : À Wells, viens, je t'inviterai à boire un café ! \o/
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Ven 23 Aoû - 10:05 | |
| Ton histoire est prenante et bien construite. J'aime. n__n | |
| | | Shirayuki-san
Messages : 139 Date d'inscription : 16/11/2012 Age : 25 Localisation : Ma chambre. La simplicité avant tout x)
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Ven 23 Aoû - 17:18 | |
| J'espère que la suite sera aussi bien que le prologue xD au niveau de l'écriture je parle ._. | |
| | | Shirayuki-san
Messages : 139 Date d'inscription : 16/11/2012 Age : 25 Localisation : Ma chambre. La simplicité avant tout x)
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Lun 26 Aoû - 20:15 | |
| Bon, je vous ai promis un Chap par semaine (bien que ce ne soit pas vraiment des chap) Je suis censée le donner demain mais je doute que j'aurais le temps Si vous avez des remarques ou critiques, n'hésitez pas *-*
Chapitre 1: Le commencement.
Je me réveillai au beau milieu de la nuit, tiré de mon sommeil par une sensation de chaleur étouffante qui me faisait transpirer par tous les pores de ma peau. Mes cheveux noir de jais me collaient au visage. Au moment où je me dirigeai vers la salle de bain pour tenter de me rafraîchir une voix se fit entendre. Une voix douce et mélancolique qui vous caressait délicatement la peau. Je regardai autour de moi. Personne. Aurais-je rêver ? Je me redirigeai vers la salle de bain. Encore cette voix, sauf que cette fois ci, je compris ce qu’elle disait :
“ Le frêle oiseau abandonné, fut recueilli et bien élevé. Mais avec son plumage clair et son regard plein de colère Il tua tous ses aînés et alla dans un monde où personne ne pourrait le trouver ” Euh …. ok Je ne devait pas être très bien réveillé. Je repris, encore une fois, la direction de la salle de bain. Au moment où ma main atteignit la poignée un nuage de chaleur brûlante m’enveloppa. Je m’approchais de la fenêtre dans l’intention de la fermer mais ma main ne parvint pas ne serait-ce qu’à la frôler. Tout d’un coup la pièce plongea dans un noir total, englobant le moindre rayon pâle de lune. La voix reprit sa chanson en boucle, de plus en plus fort jusqu’à ne devenir qu’un brouhaha incessant qui me perçait les tympans. Le sol se déroba sous mes pieds et j'entrepris une chute libre. J’avais la sensation de me précipiter dans un puis sans fond, la chaleur devenait de plus en plus insoutenable si bien que le fait même de respirer me brûlait les poumons. Mais que diable se passait-il ? Est-ce que j’allais mourir ? Non ! Pas encore! J’ai encore trop de chose a faire!! Je lançais des regards perdu autour de moi. N’y avait-il rien auquel je puis m’accrocher ? Difficile de percevoir une simple forme dans cette obscurité. Je heurtais le sol dans un fracas assourdissant, la douleur fusait dans tout mon corps. Je sentit un liquide couler de l’arrière de mon crâne jusque dans ma nuque et plus bas. J’ouvris les yeux, et bien que ma vue soit troublée, je distinguais une vague silhouette penchée au-dessus de moi, marmonnant quelque chose que je ne comprit pas. La fatigue me gagna, et je fermai les yeux, inconscient. Lorsque je rouvris les yeux, j'aperçus un plafond haut en bois. Je regardais autour de moi : des murs en pierre recouverts à moitié de peinture jaunâtre, un parquet abîmé, des meubles en bois. La porte se trouvait dans un coin de la pièce et la fenêtre à l’opposé, en plein milieu du mur. Le genre de chambre des maisons de jadis, quand on n’avait pas encore le plastique et le ciment. J’étais sûr a deux cent pourcent que si je sortais, je verrais un toit de chaume. Des voix se firent entendre de la pièce d’à côté… mais j’étais si fatigué que je ne pu comprendre grand chose. Soudain la porte s’ouvrit et un vieil homme apparu, petit, le dos voûté, les traits abîmés avec des cheveux gris et une barbe naissante. Il s’approcha de moi, à en voir mon expression il s’empressa de dire : - Coucou fiston, comment va ta tête ? Je regardais mon corps, couvert de bandages, dont quelques uns imprégnés de sang. Mais, à mon grand soulagement, je n’avais plus mal. - Bien, répondis-je. Une femme passa la porte, tenant une assiette de céramique entre ses mains. Elle était aussi âgée que l’homme mais elle s’efforçait de se tenir droite. Elle avait coiffé ses cheveux blanc en tresse ce qui, je trouvais, mettait la gaieté de son visage et la profondeur de ses yeux noirs en avant. - Tiens, je t’ai fait du bouillon, bois-le tant qu’il est chaud, dit-elle. Franchement mon garçon, ça t’arrive souvent de tombé du ciel comme ça ? Heureusement que mon mari était dans le coin ! - Je suis tombé du ciel ? - Oui, répondit l’homme. Tu as fait une chute libre et tu t’es écrasé par terre. Je ne te dis même pas dans quel état tu te trouvais. - Merci, de m’avoir sauvé... - Je t’en prie, un beau jeune homme comme toi, à tout casser tu doit avoir quoi ? 14 ans ? 15 ? - 14 ans monsieur. - Et comment t’appelles-tu ? - Akashi. - Une beau nom pour un beau garçon, commenta la femme. Mais je me doute que tu te demande qui nous somme. Qui ne le se demanderai pas. Je m’appelle Hélène, comme Hélène de Troie. - Et moi Timothé, fis l’homme. C’est nous qui t’avons soigné. -Merci. -Je t’en prie, mon garçon, reprit Hélène. Quoiqu’il en soit, tu dois te reposer et guérir vite. C’est mauvais pour la santé de rester au lit comme ça ! Encore plus que quand on tombe du ciel ! Et ils repartirent. Les secondes s’écoulaient lentement, alors que mes pensées, elles, traversaient mon esprit à une vitesse hallucinante. “Où suis-je ?”, “Pourquoi ne suis-je pas dans ma chambre ?”, “ Comment ai-je fais pour passer de ma chambre à ici ?, “Que s’était-il donc passer ?”. Là était la grande question.
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| | | Shirayuki-san
Messages : 139 Date d'inscription : 16/11/2012 Age : 25 Localisation : Ma chambre. La simplicité avant tout x)
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Mar 3 Sep - 0:06 | |
| Aujourd'hui nous somme mardi, voilà donc la suite de la fiction (et c'est aussi le jour où je deviens lycéenne, je sais pas si je dois rire ou pleurer les gens ) que j'ai franchement hésité à mettre car en fait levy & léa m'ont saoulé pour que je rallonge le chapitre 1 (pour ça qu'il est trèèèèèèèèès long) avec ce qui devait être, normalement le chapitre deux. Mais les délais sont les délais alors...
Chapitre 2 : Découverte
Je bu mon bouillon et regardais par la fenêtre, en me persuadant que tout ceci était un rêve, du début jusqu’à la fin, du moment où je me suis levé pour aller dans la salle de bain, jusqu’aux deux soleils que je pouvais entrevoir par delà la fenêtre. Oui, car il y avait deux soleils, et après m’être remis de la réaction prévisible “bordel mais qu’est ce que c’est que ça encore ?”, je me suis enfoncer dans mon doux cocon qui me disait que la réalité me reviendrait bientôt, dès que je me réveillerai, et que je rigolerais de tout ça en me disant “ mais où suis-je encore allé chercher des idées pareilles” . Et ce rêve dura bien longtemps.
Un mois passa sans que moi-même je m’en rende compte. Je découvrit un monde totalement nouveau digne des plus grands RPG. Entre les villageois m’accueillant chaleureusement, les fantastiques combats qui avaient lieu un peu partout dans les rues et dans des tournois, les tavernes, l’odeur de la bière, les guildes où tout le monde riait, chantait, dansait, croquant la vie à pleine dent, le pot-au-feu du vendredi soir, labourer le champs avec Timothé derrière la maison, les oiseaux dansant dans le ciel et les voix des habitant qui s’entremêlaient et rendaient ce brouhaha plus vivant que jamais. Comme dans les jeux de rôles, on pouvait choisir une classe, voleur, paysan, guerrier, mage, chercheur…, grandir et se développer, devenir puissant, combattre des monstres perdu en pleine montagne. Je voulu devenir voleur, puis guerrier, puis je revins sur mon choix initial. Timothé m’accompagna dans un bâtiment qui servait de mairie, où l’on m’enregistra en tant que voleur. Je m’exerçais, j’appris à courir vite et à profiter des plaisirs simple de la vie, chaque jour était plus palpitant encore que le précédent. Le vent frais du matin caressait ma peu et agitait mes cheveux. Je fermai alors les yeux, et m’imaginait, grand et fort. Il arrivait parfois que le souvenir de ma famille me revenait comme un flash et je m'efforçai de le faire aussitôt disparaître. Mais surtout, je pensais à elle. Elle et son air implacable. Elle et son regard profond. Elle et ses cheveux long et soyeux dans lesquels je rêvais de passer ma main. Elle et sa démarche élégante, frôlant à peine le sol. Malgré les questions sans réponse que je n’avais pas la foi de me poser, les mystères de ce nouveau monde me satisfaisais, et je me plaisais, d’une manière ou d’une autre, dans ma nouvelle vie dont je n’avais pas encore tout compris. | |
| | | Okami
Messages : 121 Date d'inscription : 08/03/2013 Localisation : À Wells, viens, je t'inviterai à boire un café ! \o/
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Mar 3 Sep - 11:49 | |
| Toujours aussi bien ! *-* | |
| | | Shirayuki-san
Messages : 139 Date d'inscription : 16/11/2012 Age : 25 Localisation : Ma chambre. La simplicité avant tout x)
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Mar 3 Sep - 16:18 | |
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| | | Shirayuki-san
Messages : 139 Date d'inscription : 16/11/2012 Age : 25 Localisation : Ma chambre. La simplicité avant tout x)
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Mar 10 Sep - 21:12 | |
| Chapitre 3 : L’exécution
Et trois années s'écoulèrent ainsi, dans la joie et la bonne humeur, dans ce village plein de vie qui avait tant à m’apprendre. Timothé et sa femme m’accueillirent à bras ouvert, après m’avoir appris que je n’étais pas le premier à venir d’un autre monde mais qu’ils ne connaissaient aucun moyen de me renvoyer chez moi. Je me fis donc une raison et développait mes compétences de voleur, j’acquis une agilité et une souplesse surprenante, j’appris à manier les armes, j'abattis d’innombrable monstres, gagnait en expérience. Au bout de trois ans, je devins fort, tel que je me l’étais imaginé étant gamin. Les gens me connaissaient par delà les plaines et les montagnes. J’étais célèbre.
Et je la vis. Là, au milieu de la foule, tout les villageois et les combattants s’étaient écartés, laissant place à un spectacle hallucinant. Je voulu m’approcher, aller la voir, la toucher, voir si ce n’était pas un produit de mon imagination fertile. Je fis quelques pas hésitant, puis Timothé me retint par le bas. - Non fiston, dit-il Ne fais pas ça. - Qu’est-ce que … tu la connais ? -Oui. - Mais est-ce que quelqu’un aurait bien l’amabilité de me dire ce qui se passe ici ?! m’écriai-je -C’est une exécution public, dit un hommme. - Mon dieu, pour qu’il l’envoie elle … ce type est fou … dit un autre. - Qui est-elle ? demandais-je à Timothé - Fiston, je t’ai déjà expliquer que ici, il y avait un empereur, le plus fort combattant, que tout les jeunots comme toi rêve de battre pour devenir à leur tour les plus forts .. - Oui et ? - Cet homme a des armées, des combattants, qui seraient près à mettre tout le pays à feu et à sang. Et bien vois-tu, la jeune fille là-bas, c’est la meilleur d’entre eux. - … - Elle. il s’humecta les lèvres et repris, elle tue quiconque est sur son chemin, c’est un démon, fiston, un démon, comprends moi bien ! Elle prends plaisir à torturer… Ne t’attire jamais d’ennuis avec elle tu m’entends ? Jamais ! tu connaîtrais un état pire que la mort elle même.
A ces mots, elle leva les mains ,une centaine clous apparurent dans le ciel nocturne, pas le genre de clous que l’on utilise pour accrocher un tableau ,non, car ils étaient longs et affûtés comme des lames de rasoir. Elle courut vers l’homme, ses cheveux suivait la courbe de son corps, elle esquissa un sourire malsain, mais je vis un certain malaise dans son regard. Elle attrapa le pauvre homme a juger, lui déboîta les jambes et les bras, soudain les clous disséminés un peu partout dans l’atmosphère remuèrent, s’agitèrent, et dirigèrent vers le corps de l’homme qui hurlait déjà de douleur à en perdre la raison. Ils se plantèrent dans ses articulations, le coude, les doigts, les mains… l’odeur de sang emplit mes narines et le misérable s’écriait en la suppliant d’arrêter. Elle s’arrêta, et déclara : - Jean Duchrot, pour avoir tué la douzième femme de l’Empreur Akihisa, tu à été jugé et condamné à l'exécution publique, que ceci te serve de leçon dans ta prochaine vie. Sa voix était calme et cristalline. Elle résonnait dans tout mon corps, mes os, et je ressentis quelque chose d’étrange, un sentiment doux et indescriptible … je ne pu détourné mon regard de sa silhouette si frêle mais pourtant si forte ; éclairée par la lune. Puis, après sa déclaration, elle retira un par un les clous du corps de l’homme qui n’avait même plus assez de force pour crier. Elle recula. “Elle ne le tuera pas” pensais-je. Mais ça aurait été trop beau pour être vrai. Elle fit apparaître un long katana à la lame blanche comme neige dans sa main et se dirigea droit sur le corps remuant fébrilement à un mètre d’elle. Ce qui suit fut atroce. Elle lui découpa des morceaux de chair en faisait en sorte que l’homme à ses pied reste en vie, puis, une fois le spectacle fini, elle se volatilisa. Il ne restait plus rien de Jean, seulement des lambeaux de chair et de cervelle mêlées à du sang frais éparpillés sur le sentier. Quelques villageois résistants se proposèrent pour l'enterrement afin de ne pas effrayer les enfant le lendemain. Et tout le monde rentra chez lui, avec cette scène hors normes qui se répétait inlassablement devant leur yeux.
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| | | Portgas D Lucy Administratrice
Messages : 892 Date d'inscription : 02/11/2012 Age : 29
| | | | Shirayuki-san
Messages : 139 Date d'inscription : 16/11/2012 Age : 25 Localisation : Ma chambre. La simplicité avant tout x)
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Mer 11 Sep - 16:32 | |
| haha ouais je sais mais j'aime bien le coté sanglant *Q* (<- grosse psychopathe) | |
| | | Shirayuki-san
Messages : 139 Date d'inscription : 16/11/2012 Age : 25 Localisation : Ma chambre. La simplicité avant tout x)
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Mar 17 Sep - 20:26 | |
| Il est clair que ce n'est pas le chapitre dont je suis le plus fière, je le trouve un peu différent, vite fait, je pense qu'il va passer à la modif' ;) je vous dirais, donnez moi votre avis, j'en ai besoin !!
Chapitre 4 : rencontre
Plus j’y repensais, plus ça me tracassais, et je finis par me retourner sans cesse dans mon lit, questions en tête : pourquoi ? Pourquoi ce regard ? Pourquoi ce malaise dans ces yeux à ce moment là ? Prenait-elle réellement du plaisir à faire ça comme le disait Timothé, ou endossait-elle un rôle, joué à la perfection, qu’elle avait du mettre des années à parfaire pour ressembler à la tueuse sanguinolente et sans scrupules de service ? Pourquoi ne m’avait-elle pas reconnu? Ou alors faisait-elle semblant de ne pas me voir ? Que lui était-il donc arrivé ? Je ne pouvais m’ôter l’idée qu’elle aussi, dans son enfance, elle souriait et chantait à gorge déployée dans la rue, savourant chaque instant qui passait devant ses yeux bleus qui débordaient de bonheur et d’insouciance faisant alors contraste avec le rose de ses joues. Mais pourquoi diable avait-elle crée une telle froideur ? Pourquoi agir ainsi ? Timothé m’appela en me disant que j’avais de la visite, c’était Tomas, le voisin d’en face. Un jeune homme d’environ 16 ans mais plus grand que la moyenne, musclé mais portant toujours des vêtements trop larges qui lui donnaient une impression de rondeur qui n’avait pas lieu d’être. Il avait les cheveux châtains et les yeux verts. Plutôt sympathique, courageux mais pas téméraire. Il m’attendais devant le palier. - Salut ! dit-il. -Hello ! - Alors tu viens ? -Où ça ? - M’dis pas que t’as oublié, c’notre tour d’aller à la capitale cette semaine, tu sais, vendre les produits locaux et tout… - Ah ,oui, repondis-je, sans conviction. Nous fîmes le trajet à pied, cela nous pris quatre heures en tout. Une fois arrivés, nous nous posâmes dans une taverne, buvant une bonne bière, discutant de tout et de rien. Les ventes du jour rapportaient en tout 25 000 buflons. De quoi s’acheter une nouvelle arme de plutôt bonne qualité. Le reste de la journée passa, sans le moindre incident. Arrivé à la porte d’entrée de la capitale dans le but d’emprunter le chemin du retour vers le village, je déclarais : - Tu peux rentrer sans moi ? J’aimerais rester un peu … - Ouais t’inquiètes, je m’en charge, mais ne tarde pas trop ! - Merci.
Je pris une chambre dans un hôtel bon marché, me laissant aller à la rêverie bercé par les lumières fluorescentes qui traversaient la baie vitrée de la chambre donnant sur une terrasse. Et je m’assoupis. Un courant d’air me chatouilla les oreilles, j’ouvris les yeux et jetai un coup d’oeil à la baie vitrée. Elle était ouverte, je me levai pour aller la fermer. - Non, ne ferme pas. La voix cristalline me traversa de part en part, je fis volte face. Elle ! Ici ? Je devais rêver. - Si tu fermes je ne pourrais plus sortir. Ses mots firent résonner mes os, le sang me montais à la tête, je restais là, tétanisé, non pas par la peur, mais par son ton. La douceur de ses phrases, sa petite voix si peu audible qu’on aurait dit un chuchotement, je plongeai mon regard dans le sien, et me noyais dans le bleu de ses yeux. Aucune trace de quelconque démon. - Je peux te poser une question, m’enquis-je. - Je t’en accorde deux, au cas où. Un sourire se dessina sur son visage, radieux, tel le sourire d’un ange. Le blanc éclatant de ses dents fit ressortir ses lèvres cerises. J’écarquillais les yeux devant tant de beauté, puis me repris, et déclarai : - Comment t’appelles-tu ? - Tu sais que je n’ai pas vraiment le droit de répondre à cela, ironisa-t-elle. - Je ne lâcherai pas l’affaire, fis-je en lui adressant un sourire. - Mmmh … je n’ai pas l’habitude des stalkers. - Tu n’en n’a jamais connu, belle comme tu es ? - A ton avis. - Soit tu les a tués, soit ils on trop peur de t’approcher. - Pourquoi poses-tu donc des questions auxquelles tu as déjà des réponses ? - Histoire de confirmer. -Je vois. Elle regarda par la fenêtre, scrutant la pénombre, à la recherche de quelque chose ou quelqu’un, une ombre qui s’agiterait dans un coin de la rue. - Que fais-tu ici ? lui demandais-je. - A ton avis ? - Je dirai que tu te caches, vu comment tu détailles ce qui se passe dehors. - Encore une fois, pourquoi poses-tu des questions auxquelles tu as déjà les réponses ? - Encore une fois, histoire de confirmer. Elle émit un petit rire, un rire magnifique, féminin, transparent, qui faisait bondir mon coeur hors de ma poitrine et me faisait réellement douter quant à son côté “démoniaque”. - Et donc, ton nom ? - Tu m’as l’air de bonne fois, alors je vais te le dire. - C’est à dire ? - Simplet. - Mais encore ? - Je suppose que si tu me le demande, c’est parce qu’ il t'intéresse, et non pas pour te vanter dans ta petite cabane qui te sers de maison que tu as réussi à la savoir sans te faire tuer, et donc avoir un respect non mérité. - Effectivement, ça ne m’a même pas traversé l’esprit. - C’est pour ça que je dis que tu es simplet. - Je prends ça comme un compliment. - Ça n’en est pas un. - Gâche pas mon plaisir. - Mmmh. - Et donc, pour la troisième fois, ton nom ? - Nadeshiko Quelque chose remuât dehors, elle tourna la tête dans sa direction, avança, se mit debout sur la balustrade, et sauta dans le vide. Je marchais tranquillement jusqu’à l’endroit où elle avait sauté, ça ne servirait à rien de crier en imaginant qu’elle s’écraserait contre le sol, elle était suffisamment agile pour atterrir sans la moindre égratignure… je la regardais disparaître au bout de la rue, retournais dans mon lit, et me rendormi, la tête vide. | |
| | | Shirayuki-san
Messages : 139 Date d'inscription : 16/11/2012 Age : 25 Localisation : Ma chambre. La simplicité avant tout x)
| Sujet: Re: Fiction qui n'a pas encore de nom, je l'éditerai plus tard xP Dim 27 Oct - 11:44 | |
| Voici voilà, j'avoue que je suis extrêmement à la bourre (oui oui je sais je sais je vous ai manqué) mais des problème de connexion et ensuite d'inspiration. D'ailleurs je trouve que ma fiction est de moins en moins bien donc ça me blase un peu. Il risque d'il y avoir plus d'écart entre les chapitre ^^ désolée.
Chapitre 5 : Départ
J’avais été trop bouleversé hier pour penser à quoique ce soit, cette énorme différence entre ses attitudes, presque à la limite de la double personnalité. C’était à se demander qui des deux était la vraie, bien que les deux admettent avoir tuer. Pouvais-je espérer qu’elle n’était comme ça qu’avec moi … Je m’étais levé à l’aube, un peu avant que les coqs entament leur sénérade du matin, et repris la direction de mon village, non sans acheter de quoi manger sur la route. Je pris tout mon temps et arrivais vers midi chez Timothé, Hélène préparait le repas dans la cuisine, je lui fis la bise et parti dans ma chambre m'adonner à la rêverie. Hélène appela pour déjeuner, un pot-au-feu et une tarte aux myrtille. Une fois l’estomac bien rempli, je pris la direction de la forêt qui entourait le village et commençais à m’entraîner, à sauter de branche en branche, à ma battre contre des monstres environ quatre fois plus gros que moi. Enfin je rentrais chez moi, las, brandissant quelques carcasses de lapins qui raviraient sans doute Hélène. Timothé était assis à la table de la cuisine, l’air grave. - Qu’y a t-il ? demandais- je - Akashi mon enfant, un intendant est venu nous voir tout à l’heure, l’empereur demande à ce que tu rejoignes ses rangs. A ces mots, je sentis mon visage se décomposer, il en était simplement hors de question. Je savais à quoi cela me mènerais, je serais traité comme un chien qui n’aurait même pas le droit de couiner en guise de rébellion, et serais sans doute obligé de tuer, voir de torturer. Ce dernier point me fit penser que elle aussi avait du être appeler à l’armée, et qu’elle n’avait pas pu refuser. Cette boule de noeuds commençait enfin à se démêler. - Non, repondis-je sur un ton calme. - Malheureusement tu n’es pas en droit de refuser. Je ne compris pas sur le coup, et plongeais mon regard dans celui de Timothé. Pourquoi ne pouvais-je donc pas refuser ? Et soudain, la révélation, L’empereur devait sûrement faire pression. Il devait avoir dit à Timothé que si je ne venais pas, il y aurait de très lourdes conséquences. - C’est d’accord, cédais-je à contre coeur.
Je filais dans ma chambre, cet espace aéré et chaleureux me réconfortais dans ma propre solitude. Je pris un sac, enfournais mes vêtements, en boule car je n’avais ni l’envie ni le courage de les plier. Une fois le sac fait, je m'écroulais sur le lit, laissant ma rêverie résumer le début de ma vie jusqu’ici, comme si je considérais que tout, jusqu'à cet instant, appartenait désormais au passé. Le nuit passa vite, bien trop vite, les secondes défilaient sous mes yeux, et chacune de ces secondes m’éloignaient de mon petit village, de ses champs, ses tavernes, ses habitants, son vent frais du matin, ses collines baignées dans le crépuscule du soir, de la cuisine d’Hélène, du bricolage avec Timothé, des fous rire que je pouvais avoir avec Tomas. J’étais seul. L’aurore arriva, et bien avant que Timothé et Hélène ne se réveillent, je partis. Je n’ai jamais été du genre à aimé ces scènes d’adieu où chacun versait un larmes ou deux, comme si la personne qui se tenait devant eux était déjà morte. Je préférai laisser un mot, les remerciant pour tout ce qu’ils avaient fait jusqu’à présent, et pris la route de la capitale, sac et convocation à la main. | |
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