Nouvelle "La Montre"

Voici l'histoire d'un jeune homme ce prénomment Orléone, un jeune orphelin qui ne connu jamais ces parents. Il vécu dans une maison d'accueil pour Orphelin, personne ne l'appréciait pour une raison presque inconnu comme si il dégageait des ondes négatives. Il n'était pas très bavard et était presque toujours enfermer dans sa chambre allonger sur son lit en piteux état à regarder le plafond et rêver d'un autre vie que celle qu'il vivait. Il rêvait d'avoir une vie normal et des contacts social et sentimental, mais au fond il savait que c'était probablement impossible car une entité supérieur lui en empêchait.

Un jour en sortant dehors pendant une soirée d'automne sous la pluie, il trouva par terre une vieille montre en argent brillante avec une chaîne en bronze. Il la prit et constata qu'elle n'indiquait plus l'heure, comme si elle avait été figée dans le temps. Il fixa attentivement les aiguilles, l'heure bloqué était celle de 11h45. Il mit la montre dans sa poche et repartit à la maison d'accueil.

Plusieurs années passèrent, Orléone atteignit la majorité puis quitta la maison d'accueil. Il était toujours aussi seul, il gardait toujours précieusement sa montre avec lui. Orléone décida de ce prendre en main et réussi à dégoter un petit job dans un bar piteux fréquenté par le milieu de la mafia, puis réussi à trouver un appartement ressemblant plus à un taudis qu'autre chose. Son job lui permettait tout juste de vivre et de payer son loyer, mais il ne s'en plaignait pas et ce contentait de ce qu'il avait. Un jour pendant qu'il travaillait au bar en faisant le ménage, une jeune femme rentra dans le bar et Orléone eu comme un coup de foudre en la voyant. Mais rebaissa vite la tête par timidité. La demoiselle cherchait le centre car elle venait d'arriver en ville. Orléone fit face à sa timidité et lui indiqua ou ce situait le centre ville. La jeune femme trouva Orléone plutôt mignon en voyant qu'il avait du mal à s'exprimer à cause de sa timidité. Et elle demanda un verre de wisky et s'assit à une table. Orléone lui servit un verre. Puis elle lui demanda de venir s'assoir avec elle ce que fit Orléone sans hésiter. Ils fient connaissance et sympathisèrent. avant de repartir vers le centre ville, elle lui dit qu'elle reviendrait surement dans ce bar. Quand elle partie du bar Orléone était heureux, heureux d'avoir enfin pu sympathiser avec une personne surtout avec une belle femme comme celle qui venait de rencontrer, il avait le cœur en joie. Pour la première fois de sa vie il était heureux d'être vivant. La jeune femme revint effectivement plusieurs fois pendant plusieurs mois au bar et des liens d'amitiés ce tissèrent entre elle et Orléone. Et presque des liens sentimentaux.

Un jour après que la jeune femme soit partie, Un groupe de mafieux entra dans le bar et discutèrent d'un plan de trafique de drogue dans la ville. Mais il s'aperçurent vite que le barman n'était pas celui qu'ils avaient l'habitude de voir, et qu'il était au final ce chère Orléone, le chef mafieux mit un regard noire sur Orléone et lui dit que si il disait quelque chose à qui que ce soit a propos de ce trafique il serait tué sur le champ. Mais Orléone raconta le lendemain tout à la police et les mafieux furent arrêté. Orléone n'avait pas réfléchie à ce que cela pourrait avoir comme répercussion. Mais il s'en fichait pas mal tant qu'il pouvait voir cette jeune femme qu'il connaissait depuis déjà plusieurs mois qui venait tout les Samedi soir au bar pour discuter avec lui. Mais 3 semaines après l'histoire de la mafia la jeune femme ne revint plus au bar. Orléone ce demandait pourquoi elle ne revenait pas. (Elle était repartie dans son ancienne ville et n'était pas aller prévenir Orléone de son départ). Après plus de 2 semaines Orléone commençait à désespérer. Il ce décida donc d'aller au centre ville pour la chercher et la trouver coute que coute.

L'hiver frappait dehors et la neige ensevelissait les trottoirs et la nuit commençait à s'abbatre. Orléone enfila une veste pas très épaisse et partie la chercher même si le temps ne lui était pas favorable. Il serrait fort sa montre entre ces mains histoire de ce réchauffer. Il chercha pendant des heures et des heures en vain. Puis s'arrêta devant une ruelle qui menait de la ville à la forêt. Puis il aperçu une silhouette ce rapprocher de lui. Elle avait quelque chose à la main. Cette silhouette était celle du mafieux. Orléone ce mit à courir le plus vite possible vers la forêt mais le mafieux tira juste trois balles pour réussir à toucher Orléone au dos à la jambe et à sa montre dans sa poche celle-ci qui d'un coup ce remit à marcher à partir des 11h45 et les aiguilles défilait comme si il y avait un compteur avant une chose importante. Orléone continua à courir comme si il n'avait rien sentie, Puis il s'arrêta vers le milieu de la forêt la ou il n'y avait pas beaucoup d'arbre. pour remarquer qu'il était blessé. mais il continua de marcher en boitant. Ce demandant toujours ou était passer son amie. Pourquoi elle ne revenait plus. Des larmes coulaient sur ces joues glacées. "Ou es-tu" "Je te cherche" "Reviens je t'en prie" Répétait-il en boucle. Ces larmes tombaient en glaçon sur la neige blanche. Le sang chaud ce mélangeait sur la neige avec les larmes, Orléone continuait de marcher en vain et fit tomber sa montre de sa poche par terre avant de s'écrouler sur le sol dans une flaque de sang, le visage fixant l'horizon. Il repensait à sa triste de vie et à ce rayon de soleil qui avait illuminée son existence qui n'avait aucun but avant cette jeune femme. 10 minutes était passé depuis que la montre avait été réenclenché par la balle, il était donc 11h55 du soir. Orléone répétait encore les mêmes phrases il ce demandait ou était sa chère amie. La seule personne qui l'accepta, qui la regarda comme quelqu'un de normal, qui ne fut pas repousser par l'entité qui le hantait. Orléone sentait les battements de son cœur ralentir. Il cracha du sang, il pleurait a chaude larme sur la neige, il ne pouvait plus bouger. Le temps défilait la montre indiquait 11h59, Orléone sentait son dernier soupir arriver il fixa un grand chêne situé devant son regard et redit une dernière fois "Ou es-tu?" avant d'extirper son dernier souffle. La vitre de la montre implosa en morceau pour ne laisser que le cadran voler en l'air, laissant la dernière heure inscrite sur celui-ci, 12h00 du soir (00h).

Orléone Les yeux pleins de larmes restant ouvert. Plus aucun signe vitaux ce ressentait à travers son corps, il était mort. En même temps que sa montre. Le corps d'Orléone s'estompa sous la neige qui s'abattait, Ces yeux ce cristallisèrent tout comme son sang et ces larmes.

Le corps d'Orléone disparue tout comme la montre brisée sans laisser aucun trace mais seulement un chêne avec des feuilles rouge sang situé au même endroit qu'ou était étalé le corps d'Orléone. Un chêne qui à sur son tronc une sorte de visage humain du moins qui s'y rapproche.

Une légende dit qu'a partir de ce funeste jour, chaque Samedi soir à 00h00 précise on peux voir le visage sur l'arbre verser des larmes de sèves en entendant des sortes de cliquetis comme celui d'une montre. Et que pendant l'hiver le même jour à la même heure, il parait que l'on pourrai même entendre faiblement en collant son oreille à l'arbre une voix qui ressemble à celle qu'avait Orléone, cette voix disant en boucle "Ou es-tu?...".